Etienne Giros était l’invité de la rentrée du Grand Entretien avec Hichem Ben Yaïche sur Global Africa Telesud pour parler de l’investissement et du développement en Afrique.

Dans Les Échos de ce jour, un article intéressant sur la position des entreprises françaises en Afrique. S’il existe un repli en parts de marché de la France dans le commerce extérieur avec l’Afrique, les échanges progressent en valeur absolue. La présence de nos entreprises sur place reste forte et la plupart d’entre elles maintiennent leurs positions et vont même de l’avant. Pour une raison simple : les fondamentaux de l’Afrique demeurent positifs et les entreprises françaises performent et se comportent bien.

Retrouver l’article sur le site du journal : https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/en-afrique-le-grand-repli-des-entreprises-francaises-2084971

Les événements politiques récents en Afrique limitent l’ambition de certaines entreprises françaises sur continent, pourtant le potentiel est toujours là.

« nous devons renforcer notre présence économique en Afrique en adoptant une attitude d’égal à égal, sans arrogance, mais sans craindre de promouvoir nos valeurs et nos intérêts »

Retrouvez l’article complet sur le site de l’Opinion

Paris, le 30 janvier 2024 – Le Cian annonce la création de sa nouvelle Commission Economie et Finance et en confie la présidence à Mathilde Périnet, Directrice chez Global Sovereign Advisory (GSA)

Depuis 1979, le Cian rassemble les entreprises opérant en Afrique. Il les accompagne dans leurs activités sur le continent en favorisant le relationnel entre ses membres et en apportant de l’information grâce aux travaux de ses commissions. Il les représente vis-à-vis des institutions françaises, africaines et internationales et plaide pour l’amélioration du climat des affaires. La création d’une toute nouvelle Commission Economie et Finance marque la volonté d’éclairer les dirigeants sur la position des pays africains sur l’échiquier économique mondial et d’analyser les conclusions des grands rendez-vous financiers comme le Forum de Davos et les Rencontres annuelles du FMI et de la Banque Mondiale. Cette commission couvrira également les sujets du financement des investissements et des enjeux financiers du continent face aux défis climatiques et aux outils numériques : finance verte, crédits carbones, cryptomonnaie, blockchain…Enfin elle collaborera avec les autres commissions du Cian, en particulier Ethique et Conformité et Juridique et Fiscale, sur des thèmes communs comme la CSRD ou les prix de transferts.

Nous nous réjouissons que Mathilde Périnet, directrice au sein du cabinet Global Sovereign Advisory, ait accepté d’en prendre la présidence. Elle apporte son expertise des sujets de soutenabilité de la dette et de notation souveraine, ainsi que sa connaissance des institutions financières internationales et des enjeux financiers des entreprises. Avant de rejoindre GSA en 2020, elle a travaillé pendant 6 ans dans des organisations internationales, d’abord à la BCE puis à la Banque Mondiale et au Département Afrique du FMI sur des programmes concernant l’Afrique de l’Ouest et la région CEMAC. Elle est titulaire d’un master en économie et politiques publiques de Sciences Po Paris et de l’Ecole Polytechnique.

Voir communiqué de Presse

Le récent forum Ambition Africa à Bercy a adressé des messages d’optimisme à l’intention des entreprises françaises évoluant en Afrique, alors que l’on constate aujourd’hui une certaine morosité, voire une frilosité, dans les relations d’affaires entre la France et l’Afrique. Il existe de bonnes raisons pour cela. Les conflits en Ukraine et au Proche-Orient, la succession de coups d’Etat au Sahel, l’inflation, et les tensions sur les matières premières ont installé un climat défavorable à la prise de risques et à la confiance. Et pourtant, le gigantesque potentiel du Continent est toujours là et les atouts des entreprises françaises n’ont pas changé. La raison nous incite à ne pas ralentir notre ambition. À la double condition d’avoir confiance et de se réformer.

« Il faut déplacer le centre de gravité de la relation France-Afrique de la sphère publique (diplomatie, militaire, politique), vers la sphère privée (entreprises, implantation locale, social, partenariat) »

Lire l’Article ici

Le Putsch militaire au Niger ayant entrainé la chute du Président Mohamed Bazoum es le cinquième coup d’État dans le Sahel en deux ans, après les deux coups au Mali, celui au Burkina Faso et celui en Guinée. Nombreux sont ceux qui soulignent le recul stratégique et militaire de la France, et qui évoquent également le recul de la présence économique française dans la région.

Etienne Giros, le président du Cian, est intervenu dans la presse pour relativiser les événements et leur impact sur la présence des entreprises françaises en Afrique :

• Retrouvez son intervention sur BFM Business en Replay
• Téléchargez son entretien dans Capital Magazine : “La France dépend faiblement de l’uranium du Niger”
• Accédez à son interview dans Le Monde : « Au Sahel, les entreprises françaises font le dos rond dans un climat de plus en plus hostile »

Le Sommet sur le Nouveau pacte financier mondial au profit des pays les plus vulnérables a lieu en ce moment à Paris. Il vise à définir un nouveau cadre de la finance mondiale afin de concilier lutte contre la pauvreté et lutte pour le climat.

En Afrique, le secteur privé européen n’est pas suffisamment associé aux dispositifs de financements mis en place par les bailleurs de fond.

Retrouvez la tribune d’Étienne GIROS, président du Cian et de l’EBCAM, en faveur d’une meilleur prise en compte du rôle du secteur privé dans l’atteinte des #ODD en Afrique, et de son rôle dans le financement des économies africaines.

Lire la tribune en ligne

L’extension des législations encadrant la responsabilité sociétale des entreprises #RSE s’accélère depuis quelques années. La charge de la preuve repose de plus en plus sur les entreprises, ce qui les préoccupe en particulier en Afrique.

Retrouvez le plaidoyer d’Étienne GIROS, président du Cian et de l’EBCAM (European Business Council for Africa and Mediterranean), en faveur d’une pause législative et d’un devoir de vigilance concret, réalisable et mesurable.

C’est avec grande tristesse et une profonde émotion que les membres du Conseil d’Administration et du Comité directeur du CIAN ont appris la disparition de Gérard Pélisson. Co-fondateur du Groupe Accor, il avait conduit cette entreprise au sommet de l’industrie hôtelière mondiale où elle porte haut les couleurs et le savoir-faire des entreprises françaises. Très attaché à l’Afrique, il avait présidé le CIAN pendant 10 ans, de 1999 à 2009. Il y a défendu avec talent et conviction le rôle du secteur privé français sur le continent, dont il était intimement persuadé du gigantesque potentiel.

Il était un grand ami de l’Afrique. Son action et sa vision d’entrepreneur ont été précieuses pour les membres du CIAN. Au moment où nous devons renforcer notre présence économique sur le continent, dans des conditions difficiles, sa présence nous manquera beaucoup.
Nous perdons un ami fidèle.

Réaction du CIAN

Paris, le 25 novembre 2022 – Le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) a organisé, pour le compte de l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements en RDC (ANAPI RDC), une rencontre d’affaires avec des représentants des sphères publique et privée de la République Démocratique du Congo, afin d’encourager les entreprises et entrepreneurs français à y investir et y saisir les nombreuses opportunités qu’offre le pays.

D’importants progrès ont été réalisés ces dernières années en République Démocratique du Congo afin d’améliorer le climat des affaires et attirer de nouveaux partenaires à y investir sur le long terme. Cette rencontre a eu lieu en présence d’une délégation ministérielle emmenée par le Ministre d’Etat et du Plan, S.E. Monsieur Christian MWANDO NSIMBA KABULO, la Ministre de l’Emploi, du Travail et de la Prévoyance sociale, S.E. Madame Claudine NDUSI N’KEMBE, et le Directeur général de l‘Agence nationale pour la promotion des investissements (ANAPI) Monsieur Anthony NKINZO. 

Vous pouvez retrouver ci-dessous le programme de la rencontre,  et les supports de présentations :

• Programme de la matinée
• Présentation du Ministre d’Etat et du Plan
• Présentation du Directeur général de l’ANAPI
• Présentation du Gouverneur de la province Sud-Ubangi
• Présentation du représentant de l’ANSER

Dans le cadre du protocole de convention signé ave l’ANAPI, le CIAN et ses partenariares vous proposent de réunir les entreprises intéressées à poursuivre les échanges avec l’ANAPI RDC. Pour vous inscrire, envoyez un mail à communication@cian.asso.fr.

Paris, le 20 juin 2022 – Le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), en partenariat avec le journal l’Opinion, organise jeudi 23 juin 2022 le Forum Afrique de 8h30 à 17h00. « L’Afrique, entre défis et opportunités » sera le thème de cette manifestation, qui se tiendra en format hybride – en ligne ainsi qu’au Novotel Paris Centre Tour Eiffel. L’édition 2022 est marquée par la participation exceptionnelle du Président de la République du Niger, S.E.M. Mohamed Bazoum, invité d’honneur.

Le Forum Afrique, organisé chaque année, est devenu un temps fort, attendu et reconnu par la communauté des acteurs économiques impliqués en Afrique. Plusieurs éminentes personnalités prendront la parole au cours de cet événement. La séance plénière de la matinée sera rythmée, alternant tables-rondes, interviews et face à face, qui réuniront des acteurs de premier plan de l’économie français et africains. Elle se poursuivra l’après-midi par des ateliers BtoB animés par des délégations africaines (Cameroun, Côte d’ivoire, Gabon).

Mercredi 13 avril 2022, les membres du Conseil d’administration du CIAN (Conseil français des investisseurs en Afrique) ont désigné Etienne GIROS comme président. Il remplace Alexandre VILGRAIN, en fonction depuis quatorze années. Jérôme FABRE, président exécutif de la Compagnie fruitière, a été nommé vice-président de l’association.

Le Conseil d’administration du CIAN s’est tenu mercredi 13 avril 2022 avant l’assemblée générale annuelle. Alexandre VILGRAIN a présenté sa démission de président du Conseil, fonction qu’il occupait depuis 2008. Il demeure administrateur de l’association et continuera à siéger au Conseil. Les administrateurs ont désigné Etienne GIROS, président délégué depuis 2014, à la présidence de l’association et Jérôme FABRE, président exécutif de la Compagnie Fruitière et administrateur, comme vice-président. Michel ROUSSIN, actuel vice-président, poursuit son mandat.

Le 10 mars dernier à Paris, le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), en partenariat avec le journal l’Opinion, a organisé entre 10h00 et 12h00 la première partie de son Forum annuel sous forme d’un webinaire sur le thème « Afrique – France : un partenariat à réinventer ».

Les participants se sont rassemblés cette année autour d’un débat sur la relation de la France avec les pays d’Afrique, dans un contexte de réarticulation de l’action militaire française sur le continent, et sur fond de la guerre en Ukraine qui impactera indubitablement les économies du continent. Ce fut aussi l’occasion pour le CIAN et IMMAR de présenter la nouvelle édition du baromètre d’image Africaleads réalisé auprès des leaders d’opinions africains, ainsi que les résultats de son enquête sur l’environnement des affaires en Afrique réalisé auprès des entreprises françaises.

Rendez-vous pour la deuxième partie du Forum qui aura lieu le 23 juin 2022, et cette fois-ci en présentiel : https://2022.forum-afrique-cian.fr/

Visionner le replay de la première partie du forum

Paris, le 10 mars 2022 – Les résultats de la quatrième édition du « Baromètre CIAN des leaders d’opinion en Afrique » réalisée par l’Institut IMMAR (AFRICALEADS) ont été rendus publics ce jeudi 10 mars à l’occasion du Forum Afrique 2022 organisé par L’Opinion et le CIAN. Si l’image de la quasi-totalité des puissances européennes a été affectée par le contexte de la pandémie de Covid, celle de la France évolue favorablement : elle gagne une place dans le classement par rapport à l’année dernière et passe sixième.

Alors que la situation se stabilise après le pic de la pandémie de Covid-19 et le ralentissement économique de 2020 et 2021, les priorités des leaders d’opinion africains ont été modifiées. Le secteur du numérique reste en constant progrès selon 68% du panel. À l’inverse, les secteurs qui se sont le plus dégradés sont l’emploi (61%) et l’économie (58%). Cette dernière est désormais considérée comme une priorité pour l’avenir, au même titre que la santé et l’éducation. Quant à la sécurité, elle reste aussi l’objet de préoccupations en raison des bouleversements géopolitiques à l’œuvre en Afrique.

Communiqué de Presse Africaleads 2022

Paris, le 5 juillet 2021. Le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), en partenariat avec le journal l’Opinion, a organisé jeudi 1^er juillet son Forum Afrique 2021, placé sous le thème de la contribution des entreprises à la relance économique. Les participants à ce forum marqué par la présence de nombreuses personnalités politiques et économiques, africaines et françaises, ont détaillé les contours du « nouveau pacte des entreprises ». La crise, dont les effets se font toujours ressentir, n’a pas épargné le Continent. Elle a cependant agi comme un accélérateur de transformations. Grâce à leur agilité et leur capacité de résilience, les entreprises ont été en première ligne face à ces enjeux. Elles se montrent déterminées à relever le défi de la relance africaine, qui passera nécessairement par le secteur privé. 

Organisé chaque année, le Forum Afrique est un temps fort, attendu et reconnu par la communauté des acteurs économiques impliqués en Afrique. Pour la première fois, l’édition 2021 a été placée sous le haut patronage du président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron. D’éminentes personnalités ont pris la parole au cours de cet événement qui combinait audience en présentiel et en digital : Madame Victoire Tomegah-Dogbé, Premier ministre du Togo, en ouverture, Monsieur Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances de la France, et Monsieur Akinwumi Adesina, Président de la Banque Africaine de Développement, en plénière, Monsieur Patrick Achi, Premier ministre de la Côte d’Ivoire, en clôture et en duplex d’Abidjan.

Visionner la rediffusion du Forum

Télécharger le CP

Le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), en partenariat avec le journal l’Opinion, organise jeudi 1^er juillet le Forum Afrique. « Entreprises en Afrique : un nouveau pacte pour la relance » sera le thème de cette manifestation, qui se déroulera en présentiel, à Paris, et en digital. L’édition 2021, marquée par une participation exceptionnelle, est placée sous le haut patronage du Président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron.

Le Forum Afrique, organisé chaque année, est devenu un temps fort, attendu et reconnu par la communauté des acteurs économiques impliqués en Afrique. Pour la première fois, l’édition 2021 sera placée sous le haut patronage du président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron. Plusieurs éminentes personnalités prendront la parole au cours de cet événement : Madame Victoire Tomegah-Dogbé, Premier ministre du Togo, en ouverture, Monsieur Patrick Achi, Premier ministre de la Côte d’Ivoire, en clôture (en duplex d’Abidjan), Monsieur Bruno Le Maire, Ministre de l’Économie et des Finances de la France, Monsieur Akinwumi Adesina, Président de la Banque Africaine de Développement, Monsieur Réda Tir, Président du Conseil National Économique, Social et Environnemental de l’Algérie et Monsieur Nicolas Dufourcq, Directeur général de BPI France.

« La crise du Covid-19 a impacté l’Afrique, mais moins durement que redouté, et elle est devenue, paradoxalement, une opportunité pour accélérer la transformation, explique Étienne Giros, président délégué du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN). C’est donc le moment d’investir en Afrique, et d’accompagner cette évolution aux côtés des entreprises, et avec l’aide des pouvoirs publics. Montrer ces exemples de transitions réussies, et les potentialités que recèle les changements de paradigme en cours est la raison d’être de ce forum ».

Télécharger le programme

Télécharger le CP

Paris, le 19 mars 2021 – Les résultats du troisième « Baromètre CIAN des leaders d’opinion en Afrique » (AFRICALEADS) ont été rendus publics le 18 mars à l’occasion de la première séquence du Forum Afrique 2021, organisé par le Conseil français des investisseurs en Afrique en partenariat avec le journal l’Opinion. Dans un contexte marqué par l’incertitude liée à la crise du Covid-19, les États anglo-saxons et l’Allemagne sont les pays étrangers qui ont la meilleure image auprès des leaders d’opinion africains, alors que la France est distancée à la septième place du classement, talonnée par la Turquie. Réalisée dans douze pays, francophones, anglophones et arabophones par l’institut IMMAR, cette étude annuelle est la première à cibler spécifiquement les leaders d’opinion dans toute leur diversité.

Les grandes tendances mises en évidence dans les précédentes éditions du baromètre CIAN / IMMAR se confirment et s’amplifient en 2020-2021. En dépit de la crise du Covid-19, qui a fait entrer l’économie du continent en récession pour la première fois depuis un quart de siècle, les leaders d’opinion africains demeurent optimistes. 55% sont confiants pour l’avenir de l’Afrique au cours des cinq années à venir. 71% estiment que le continent, qui a fait preuve d’une résilience inattendue face à la crise, a les moyens de mieux résister que les autres régions du monde sur le plan sanitaire. Le numérique (cité par 72% des répondants) et les transports (54%) sont les domaines qui ont le plus progressé aux yeux des leaders d’opinion africains. À l’inverse, l’éducation, la santé et la sécurité constituent des motifs de préoccupation. La sécurité est citée par 59% des répondants comme le défi majeur pour le continent, suivie par l’éducation-formation, 47%. La dégradation des conditions d’enseignement liée à la pandémie explique en partie cette inquiétude.

Résultats 2021

Paris, le 15 mars 2021. Le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), en partenariat avec le journal l’Opinion, organise le jeudi 18 mars prochain, de 9h30 à 11h30 (heure de Paris), la première séquence de son Forum Afrique 2021, qui prendra la forme d’une conférence digitale intitulée « Le rebond en Afrique viendra aussi des entreprises ! ».

Cet événement sera marqué par la participation exceptionnelle de l’homme d’affaires et philanthrope anglo-soudanais Mo Ibrahim, président de la Mo Ibrahim Foundation, qui débattra avec Nicolas Beytout, fondateur de l’Opinion. Sébastien Bazin, président du groupe hôtelier international Accor, prononcera l’allocution de conclusion.

Une table ronde de haut niveau sur le secteur privé, moteur de la relance africaine, réunira Sandra Ablamba Johnson, Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République du Togo, en charge de la cellule « climat des affaires », Hugues Mbadinga Madiya, Ministre du Commerce, des PME et de l’Industrie de la République Gabonaise, Élisabeth Medou Badiang, vice-présidente Afrique et Océan Indien d’Orange et Richard Bielle, CEO du groupe CFAO.

Étienne Giros, président délégué du CIAN, présentera les enseignements du troisième Baromètre Africaleads des leaders d’opinion africains, réalisé avec Immar, et Sandrine Sorieul, directrice générale du CIAN, rendra publics les résultats de l’enquête annuelle sur l’environnement des affaires réalisée auprès des entreprises internationales investies en Afrique.

Paris, le 7 février 2019 – Les résultats du deuxième « Baromètre CIAN des leaders d’opinion en Afrique » (AFRICALEADS) seront rendus publics le 7 février à l’occasion du Forum Afrique 2019 organisé par le MOCI et le CIAN. Réalisée dans douze pays d’Afrique par l’institut IMMAR, cette étude est la seule à cibler spécifiquement les leaders d’opinion dans toute leur diversité.

Conduite entre octobre 2019 et janvier 2020 auprès d’un échantillon de 24023 leaders dans quatre pays d’Afrique du Nord (Tunisie, Algérie, Maroc, Egypte), quatre pays d’Afrique de l’Ouest (Sénégal, Côte d’Ivoire, Burkina Faso et Nigeria), deux pays d’Afrique centrale (Cameroun et République Démocratique du Congo) et deux pays d’Afrique de l’Est (Kenya, Ethiopie), AFRICALEADS a porté sur trois thématiques majeures : la vision de l’Afrique et de son avenir ; la perception des pays étrangers non-africains en termes d’image et d’impact pour le continent ; les entreprises et les marques les plus appréciées.

Télécharger les résultats 2020i 

Elie Nkamgueu et Etienne Giros plaident pour un nouveau partenariat avec le continent qui implique aussi bien les pouvoirs publics que le secteur privé et le monde associatif.

Tribune. A l’occasion de l’événement « Parlons d’Afrique » en présence du président ghanéen Nana Akufo-Addo, jeudi 11 juillet, Emmanuel Macron a décidé de mettre à l’honneur les diasporas africaines de France. Un geste symbolique alors que le potentiel de la population d’origine africaine a été trop longtemps négligé en France. Les diasporas deviennent aujourd’hui pleinement actrices du développement d’un continent vers lequel le monde a les yeux tournés – et dont elles sont parfois considérées comme la sixième région. Une évolution que Paris a prise en compte en composant la majorité des membres du Conseil présidentiel pour l’Afrique (CPA) de binationaux représentatifs d’une population dynamique et entreprenante.

Le potentiel financier des diasporas n’est plus à démontrer. En constante augmentation, les flux financiers qu’elles envoient vers l’Afrique représentent en moyenne 70 milliards d’euros par an, un montant plus élevé que celui de l’aide publique au développement et une source de financements essentielle pour de nombreuses économies africaines. La Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) estime que ces flux constituent 51 % des entrées de capitaux privés sur le continent. Ils peuvent représenter jusqu’à 20 % du produit intérieur brut (PIB) de certains pays. Aujourd’hui, cette manne financière permet à de nombreuses familles africaines de couvrir des dépenses de base du quotidien mais ne participe pas à de véritables projets de développement.

Selon le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), si 10 % seulement de ces flux étaient dirigés vers des investissements structurants ou des créations d’entreprise en Afrique, le continent bénéficierait d’une source de financement de 7 milliards d’euros par an, soit l’équivalent de 15 % des investissements directs étrangers annuels. Alors que 10 milliards de ces flux proviennent de la France, nous devons favoriser les initiatives permettant d’orienter une partie des transferts de fonds de la diaspora vers le capital-investissement et les projets.

En parallèle, on constate un engouement au sein des diasporas – notamment chez les étudiants et les jeunes actifs – pour le continent africain et les nombreuses opportunités économiques qu’il offre. Selon le cabinet de recrutement Talent2Africa, 76 % des jeunes africains de la diaspora veulent s’impliquer dans l’essor du continent. Ils sont de plus en plus nombreux à regarder vers l’Afrique, soit pour s’y installer, soit pour y investir ou s’y impliquer.

Pour les entreprises françaises, ces membres de la diaspora sont un avantage comparatif important alors que la concurrence chinoise, indienne ou turque s’étoffe sur le continent africain. Ils offrent une meilleure compréhension du marché mêlant légitimité culturelle et capacité à s’implanter et à construire des relations sur le long terme. Alors qu’un nombre croissant d’entreprises françaises opèrent en Afrique, revendiquant un comportement respectueux des principes de responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE), les membres de la diaspora ont tout intérêt à miser sur les expériences offertes par ces sociétés hexagonales, grands groupes ou PME.

La France a aujourd’hui une occasion unique de repenser sa politique à l’égard du continent africain. Des pouvoirs publics au secteur privé en passant par le monde associatif, un nouveau partenariat doit être mis en place où les diasporas africaines joueront pleinement leur rôle. Ces personnalités issues de la diaspora sont les meilleures ambassadrices d’une relation Afrique-France tournée vers l’avenir.

« Les leaders d’opinion africains optimistes pour l’avenir du continent mais exigeants vis-à-vis des partenaires internationaux »

Paris, le 8 février 2019 – Les résultats du premier « Baromètre CIAN des leaders d’opinion en Afrique » (AFRICALEADS) sont rendus publics le 8 février à l’occasion du Forum Afrique 2019 organisé par le MOCI et le CIAN. Réalisée dans huit pays d’Afrique francophone par l’institut IMMAR, cette étude est la première à cibler spécifiquement les leaders d’opinion dans toute leur diversité.

Conduite entre juin et septembre 2018 auprès d’un échantillon de 1244 leaders dans trois pays du Maghreb (Tunisie, Algérie, Maroc), trois pays d’Afrique de l’Ouest (Sénégal, Côte d’Ivoire, Burkina Faso) et deux pays d’Afrique centrale (Cameroun et République Démocratique du Congo), AFRICALEADS a porté sur trois thématiques majeures : la vision de l’Afrique et de son avenir ; la perception des pays étrangers non-africains en termes d’image et d’impact pour le continent ; les entreprises et les marques les plus appréciées.

Télécharger la note de synthèse

« L’Afrique en France : un nouveau levier de croissance pour le continent »

Paris, le 24 janvier 2019 : À l’initiative du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), les journalistes Bénédicte Châtel et Anne Guillaume-Gentil ont enquêté pour mieux cerner la réalité économique des diasporas africaines de France, mais aussi pour évaluer leur impact sur le continent. En constante augmentation, les flux financiers envoyés en Afrique par les diasporas représentent 70 milliards d’euros par an, dont 10 milliards en provenance de France.

À quelques semaines du FORUM AFRIQUE 2019 du MOCI et du CIAN (le 8 février à Paris), ce 3^ème volume des Cahiers du CIAN dresse donc un panorama inédit des diasporas africaines de France à travers les témoignages d’une cinquantaine de leurs représentants. Il décrit leur mobilisation et leur montée en puissance, sans occulter les freins et obstacles à une implication encore plus forte dans les économies de leur pays d’origine.

Les diasporas africaines. Accélératrices des économies du Continent
Editions Eyrolles, 20 €TTC, janv 2019

Le Conseil Français des Investisseurs en Afrique a l’immense peine de faire part du décès de Monsieur Sammy Oussedik, président de son comité Afrique du Nord.

Sammy Oussedik était un homme remarquable. Ses analyses des situations politiques et économiques de sa région étaient toujours empreintes d’une grande finesse et fondées sur une connaissance exceptionnelle des situations, des rapports de force et des empreintes du passé. Son ouverture d’esprit et sa capacité d’écoute rendaient ses explications convaincantes et enrichissantes. Il s’impliquait aussi avec force pour l’Algérie et travaillait à la recherche d’un processus politique préparant l’avenir.

Il avait rejoint le CIAN il y a trois ans, où il a toujours fait preuve de disponibilité et de bienveillance. Du fait de son expertise et de son empathie, nous lui demandions fréquemment de conseiller nos sociétés membres, ce qu’il faisait avec enthousiasme. Très fidèle aux réunions du Comité directeur, il apportait beaucoup avec son sens de la synthèse et son humour.

Sammy Oussedik personnifiait parfaitement ce que veut être le CIAN : un groupe soudé et passionné de l’Afrique et des entreprises, mais aussi un cercle d’expertise et d’influence.

Nous tenons à exprimer à sa famille et à ses proches nos très sincères condoléances.

Etienne Giros, Président délégué du CIAN

Le conseil d’administration du CIAN, Conseil français des investisseurs en Afrique, a adopté à l’unanimité lors de sa séance du 16 octobre 2017, sa charte sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises.

Cette nouvelle charte, qui s’inscrit dans la continuité de la charte du développement durable publiée en 2004, est le fruit d’une concertation avec les entreprises membres menée dans le cadre de la Commission RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), présidée par Pierre-Samuel Guedj, fondateur d’Affectio Mutandi, cabinet conseil en stratégies normative, sociétale et réputationnelle sur les enjeux Environnementaux, Sociétaux et de Gouvernance.
Pour Etienne Giros, président délégué du CIAN, « par cette charte, le CIAN réaffirme ses engagements et entend répondre aux nouveaux enjeux sociétaux et environnementaux en Afrique ». Dialogue avec les parties prenantes, respect des droits de l’Homme et des travailleurs et préservation de l’environnement forment la clé de voute de cette charte RSE qui s’adosse par ailleurs aux principaux référentiels normatifs, dont ceux de l’ONU sur les Droits de l’Homme, les Principes Directeurs de l’OCDE ou encore ceux de l’OIT.

« Le CIAN s’engage ainsi, aux côtés de ses entreprises membres, à contribuer au développement des meilleures pratiques de Responsabilité Sociétale des Entreprises pour répondre notamment aux obligations de la loi sur le Devoir de vigilance ou encore au Plan national d’actions pour la mise en œuvre des principes directeurs des Nations unies relatifs aux Droits de l’Homme et aux entreprises », précise Pierre-Samuel Guedj, président de la Commission RSE du CIAN.

Télécharger le Communiqué de presse

Télécharger la Charte RSE (pdf)

« L’État a besoin du secteur privé et le secteur privé a besoin de l’État »

Après plus d’une décennie de forte croissance économique, l’Afrique est confrontée à un ralentissement qui s’explique par la baisse des cours des matières premières, mais pas seulement. Le continent souffre aussi d’un déficit de dialogue entre les États et le secteur privé, pourtant nécessaire afin de transformer les économies pour les rendre plus performantes et plus compétitives. Environnement des affaires, fiscalité et législations, secteur informel, partenariats public/privé pour financer les immenses besoins en infrastructures…, les sujets ne manquent pas et sont autant de défis à relever.

Sans parti pris et avec une solide expérience, Patrick Sevaistre du CIAN et Jean-Luc Ricci d’HEC Paris présentent dans ce livre un diagnostic précis du dialogue public privé en Afrique. Ils proposent une série de réformes à engager pour changer la donne et instaurer un véritable climat de confiance. Avec deux objectifs : promouvoir l’État stratège, facilitateur et arbitre, et renforcer le rôle des entreprises dans le développement de l’Afrique.

Réalisé avec HEC Paris, ce deuxième Cahier du CIAN comporte un avant-propos du Vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan, et une préface de Pierre Gattaz, Président du Medef.

Le Nouveau Pacte Africain. Les défis du dialogue public-privé, Patrick Sevaistre et Jean-Luc Ricci,
Ed. Michel Lafon, 20 € TTC, 192 pages, en librairie à partir du 26 octobre 2017.

Créer les conditions favorables pour les économies africaines : le CIAN s’investit pour l’amélioration du dialogue public-privé et l’efficacité de la formation professionnelle.

Partenaire des Rencontres Africa 2017, dans la continuité de son soutien à l’édition 2016, le CIAN sera présent à Abidjan les 2 et 3 octobre et à Nairobi les 5 et 6 octobre 2017, au côté des organisateurs institutionnels et des entreprises adhérentes du CIAN.

Abidjan, Lundi 2 octobre, 17h30-21h00

Le CIAN organise la table-ronde « Former la jeunesse : faire face aux défis de l’avenir à travers l’employabilité et l’entrepreneuriat ».

• Ce panel, animé par Etienne Giros, président délégué du CIAN sera composé de DRH de filiales africaines de grand groupe, directeurs d’établissement de formation et d’entrepreneurs, ainsi que du directeur de RH Excellence Afrique.
• A la fin de l’échange, SEM Kablan Duncan, le Vice-Président de la République de Côte d’Ivoire, remettra solennellement les premières certifications RH Excellence Afrique aux établissements de formation professionnelle lauréats du programme. Un cocktail viendra célébrer ensuite cette réussite.

Abidjan, le 3 octobre, 15h30-16h30

Le CIAN présente avec HEC Paris le deuxième Cahier du CIAN, Le Nouveau Pacte Africain. Les défis du dialogue public-privé après un premier Cahier consacré au Digital en Afrique paru fin mars.

Nairobi, Jeudi 5 octobre, 11h30-12h30

Mohamed Diakité, directeur de RH Excellence Afrique, participe à la table-ronde sur la formation.

Le Conseil français des Investisseurs en Afrique (CIAN) et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme ont signé un accord de coopération visant à mobiliser les entreprises françaises dans la lutte contre ces trois épidémies en Afrique subsaharienne.

Tout en soulignant le rôle important du secteur privé en tant que catalyseur de ressources et porteur d’innovations dans le domaine de la santé mondiale, cet accord réaffirme la volonté des entreprises françaises de participer plus activement à la lutte contre ces trois épidémies. Le partenariat vise à maximiser l’impact des programmes soutenus par le Fonds mondial et renforcer l’accès aux soins de qualité en Afrique subsaharienne. Pour ce faire, il entend promouvoir des actions de coopération portant sur les transferts de compétences, la prévention et l’offre de soins dans l’environnement des entreprises ainsi que des activités de plaidoyer.

Communiqué de presse (FR)

Press Release (ENG)

À l’initiative du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN), Jean-Michel Huet, associé chez BearingPoint, analyse et décrypte la révolution digitale sur le continent dans un livre préfacé par Stéphane Richard, PDG du Groupe Orange, aux éditions
Michel Lafon.

La signature, mardi 16 février à Paris, d’un accord d’adhésion réciproque entre deux groupements patronaux d’entreprises, l’un français, le CIAN, Conseil français des Investisseurs en Afrique, l’autre monégasque, le CEMA, Club des Entrepreneurs monégasques en Afrique, revêt une importance qui va bien au-delà des chiffres significatifs.

La France accueillera en décembre prochain la 21^ème conférence mondiale sur le climat (COP21). Après les échecs des précédentes éditions, des engagements significatifs de tous les Etats sont attendus et l’Afrique compte faire entendre sa voix dans les négociations. En effet, alors qu’elle n’émet que 7% des gaz à effet de serre dans le monde, elle est l’une des premières victimes du changement climatique. C’est pourquoi le CIAN a décidé de soutenir l’initiative MDP-Afrique en devenant signataire de sa lettre ouverte à la CCNUCC.

HEC Paris et le Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) ont officialisé leur partenariat. La convention a pour objectif d’accompagner les entreprises françaises dans le renforcement managérial en Afrique. Afin de favoriser le développement des affaires et d’accompagner les compétences en management sur le continent, HEC Paris et le CIAN mettront au point des offres de formation spécifiques communes, réservées aux membres du CIAN en Afrique.

Le CIAN et Sciences Po ont signé une convention de partenariat afin de promouvoir l’Executive Master « Politiques et Management du Développement – Potentiel Afrique ». Cette formation à l’attention des cadres africains du secteur public et privé et des cadres de tous pays travaillant étroitement avec le continent africain, est consacrée aux problématiques africaines.

Etienne Giros, Président délégué du CIAN, et Stefan Liebing, Président d’Afrika-Verein, soulignent leur volonté de collaborer plus fortement et déclarent « les relations politiques étroites entre la France et l’Allemagne sont un atout de taille pour nos entreprises, il est important d’en tirer parti pour se positionner sur des marchés africains de plus en plus concurrentiels ».

Le Conseil a approuvé à l’unanimité la nomination d’Etienne GIROS en qualité de Président délégué, laquelle a ensuite été entérinée par l’Assemblée Générale.

Le CIAN publie un nouvel ouvrage bilingue français-anglais « La responsabilité sociale et environnementale des entreprises françaises en Afrique », rédigé par Pierre Jacquemot, assisté par Vigeo.

L’AFD accorde une subvention de 150 000 € en faveur de la formation professionnelle en Afrique (Commission Education/Formation du CIAN, projet de « Renforcement des compétences techniques en Afrique à travers une meilleure adéquation emploi/formaiton »).

Signature d’une Déclaration conjointe entre le Ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire (MIIINDS), l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (OFII), et le CIAN

Alain Cousin, Président d’UBIFRANCE, et Alexandre Vilgrain, Président du CIAN, ont signé, jeudi 11 juin 2009, une convention de partenariat pour soutenir les entreprises désireuses de développer leurs activités sur le continent africain.

Le Président, après avoir décrit le contexte général de 2008, a présenté le bilan des activités du CIAN et commenté les principales évolutions. M. Pélisson a ensuite annoncé qu’il ne souhaitait pas renouveler son mandat de Président, fonction qu’il occupe depuis 1999. Il a soumis au Conseil d’Administration la candidature d’Alexandre Vilgrain, PDG du Groupe SOMDIAA.

Ce rapport n’est pas l’œuvre « d’analystes en chambre » mais un témoignage des entreprises sur le terrain, membres du Conseil Français des Investisseurs en Afrique. Il exprime le point de vue des
opérateurs non seulement sur leur environnement mais aussi sur l’état de leurs affaires et leurs perspectives de développement.